10.10.04

Opium, de Maxence Fermine

Tout le monde rapproche Maxence Fermine d'Alessandro Baricco (cf une autre critique d'Opium trouvé sur une page perso). J'ai moi même lu "Neige" de Fermine parce-que j'avais adoré "Soie", et j'ai lu "Opium" parce-que j'avais aimé "Neige".

Il s'agit de romans initiatiques, genre à la mode ces temps-ci (voir le succès de "L'alchimiste" de Paulo Coelho). Quête d'un secret ou recherche d'une perfection, qui fournit l'occasion de rencontrer l'Amour pour une femme mythique... même si la rencontre est éphémère. Mais il est sans doute difficile de se renouveler dans un genre qui relève d'un procédé, et même si "Opium" est un livre agréable, je n'ai pas retrouvé la même intensité de plaisir que dans "Neige", ni la même magie que dans "Soie", que je vous recommande tout particulièrement si vous ne l'avez pas encore lu.

Comme tous ces livres contiennent une morale philosophique, je ne résiste pas et vous proposer la mienne : "sachons goûter des plaisirs rares, sans chercher à les renouveler sans cesse, il n'en seront que meilleurs" !

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